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Gilbert Becaud

gilbert becaud et dalida"Je ne peux pas croire qu'elle est pu faire ce geste... c'était une amie, je l'admirais, je l'aimais, je suis bouleversé. Je ne comprends pas, je ne comprends pas...".
En 1988, à l’occasion d’un hommage pour Dalida, Gilbert Bécaud souhaitera lui dédier et interpréter, non sans émotion, en interprétant « L’absent ».
"Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami, l'ami qui tous les soirs venait à cette table et qui ne viendra plus. La mort est misérable, qui poignarde le cœur et qui te déconstruit. Elle avait dit un jour : "Lorsque je partirai Pour les lointains pays au-delà de la terre, vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres et vous boirez pour moi à mon éternité...".

DALIDA ET GILBERT BECAUD
Dalida passera en vedette américaine de Gilbert Bécaud à l'Olympia au mois de
septembre 1957. A partir de cette rencontre, ils deviendront inséparables.
Elle fut l'une de ses interprètes fidèles, dont elle a popularisé les chansons dans
plusieurs langues : français, italien, allemand...
Il sera l'auteur que Dalida aura le plus interprété, Gilbert Bécaud lui composera des musiques et des textes devenus incontournables dans la carrière de Dalida :
"Le jour où la pluie viendra" (dont la version en allemand de Dalida deviendra « Am tag als der regen kam» un immense succès et qui continuera d'être diffusé en Allemagne jusqu'a ce jour) "Si je pouvais revivre un jour ma vie", "Marie Marie", "Pilou pilou hé", "Je reviens te chercher" et "Amoureuse de la vie". Dalida reprendra en Italien "Et maintenant" qui deviendra "Che mai faro".
En plus de partager de nombreux shows télévisés, ils chanteront souvent en duo.
En toute amitié, Dalida interprétera à la radio en 1964 "Croquemitoufle", une chanson de Gilbert Bécaud. Orlando la diffusera pour la première fois en 2001 sur un album live de Dalida. De même, l'épouse de Gilbert Bécaud offrira à Orlando une bande sonore d'un enregistrement privé, où en 1959 il proposa à Dalida d'interpréter sa dernière composition "Quand tu n'es pas là". Ce titre est paru dans l'intégrale Dalida "Les diamants sont éternels".

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