YVES LECOQ, JEAN MARIE PROSLIER ET DALIDA / 1976
Tico tico
J.Larue / Z.Abreu
Tico Tico par-ci, Tico Tico par-là
Dans tout Séville on n'entend plus que ce nom là
Il passe par ici, il va passer par-là
Comme il est beau dans son costume de gala
Coiffé d'un sombrero, les cuisses bien à plat
Sur son cheval il se promène à petits pas
De sa moustache en crocs lustrée de gomina
Il fait rêver tous les jupons de la ramba
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu'il faisait la traite des Noirs à Buenos Aires
Et patati et patata dans la maison qu'il habita
Tout le gratin de la cala y défila
Tico tico devenu unique légataire
De son magot, de son cheval et de ses terres
Il peut garder devant chacun son sombrero
C'est un vrai cabaleiro, Tico Tico
Tico Tico par ci, Tico Tico par-là
Dans tout Séville on n'entend plus que ce nom là
Il passe par ici, il va passer par-là
Comme il est beau dans son costume de gala
Coiffé d'un sombrero, les cuisses bien à plat
Sur son cheval il se promène à petits pas
De sa moustache en crocs lustrée de gomina
Il fait rêver tous les jupons de la ramba
On dit tout bas que son grand-père était corsaire
Qu'il faisait la traite des Noirs à Buenos Aires
Et patati et patata dans la maison qu'il habita
Tout le gratin de la cala y défila
Tico Tico devenu unique légataire
De son magot, de son cheval et de ses terres
Il peut garder devant chacun son sombrero
C'est un vrai cabaleiro Tico Tico
Tico Tico par-ci, Tico tico par-là
Dans tout Séville on n'entend plus que ce nom là
Il passe par ici, il va passer par-là
Comme il est beau dans son costume de gala
Coiffé d'un sombrero, les cuisses bien à plat
Sur son cheval il se promène à petits pas
De sa moustache en crocs lustrée de gomina
Il fait rêver tous les jupons de la ramba.