Arlette Waaub (60 ans) Liège
Dali a toujours été ma raison de vivre depuis mes 11 ans en 1960. J'ai eu le bonheur de la connaître dans les années 70 et début 80. Je l'ai aimée en tant que chanteuse, sa voix chaude, son professionnalisme, le choix de ses chansons, son audace quand elle a entrepris les shows à l'américaine, c'était une pure merveille. Mais si j'ai aimé l'artiste, j'ai encore plus aimé la femme, elle était d'une telle gentillesse, d'une telle simplicité et sa beauté c'était celle du cœur, sa beauté intérieure transparaissait, rayonnait autour d'elle, elle avait un tel aura, un tel charisme, on ne pouvait l'approcher sans en être imprégné. Ce n'était pas possible pour ceux qui l'on connue de ne pas l'aimer à cause de ce qu'elle dégageait! C'est quelque chose qui nous dépasse et qu'on a du mal à décrire. Des belles filles il y en a beaucoup de part le monde, mais souvent elles sont fades, ce n'est qu'une beauté plastique, vide. La vraie beauté, comme Dali, celle du cœur comme je le décris plus haut est quelque chose de rare. C'est du diamant brut qu'elle a su tailler au fil des années pour devenir une pierre merveilleuse ! Ceci est un hommage que je lui rends, je lui dois bien ça! Merci Dali pour tout le bonheur que tu m'as donné et me donne encore! Amitiés à tous.