Thierry Dupreuilh (45 ans) Bayonne/France
Quand j'ai lu le roman de Eric Romand j'ai beaucoup pensé à Dalida que je continue d'écouter ou de regarder à la télévision car elle me permet de retrouver mon âme d'enfant,pour un bonheur fragile, embelli, si possible, de quelques souvenirs qui m' aident à ne pas oublier tous les anciens visages. Je me rappelle les samedis soirs de mon enfance que nous passions chez mes grands- parents paternels.Nous y dînions puis nous nous réunissions devant le poste de télévision pour regarder les émissions devenues cultes de Gilbert et Maritie Carpentier, »Numéro 1 à » ….. ou « Top à..... »Aujourd'hui je suis très heureux de m'être fabriqué des souvenirs pour quand viennent les soirs d'ennuis. Je me sus même reconnu dans certains passages du livre. Moi aussi je restais droit et figé, les yeux rives sur le petit écran, à chaque apparition de la belle italienne de naissance égyptienne en train de commenter sa nouvelle tenue et essayant de retenir les paroles d'un nouveau refrain. J'avais l'impression de recevoir Dalida dans mon salon.